« Ils occupent nos places même quand nous sommes assis et qu’eux voyagent debout ». Le poète brésilien, Ledo Ivo, fixait dans ce vers le sentiment d’intolérance envers
l’étranger jeté au milieu de nous par la malchance. C’était à Pâques, en 1997, quand le navire de guerre italien Sibilla éperonnait et coulait le bateau albanais Kater i Rades, faisant plus de cent noyés. Ainsi, commençait la série des tentatives les plus désespérées et les plus criminelles de découragement et de rejet d’immigrés. Ainsi commençaient les camps de concentration, les détentions, qui qualifient « d’hôtes » les prisonniers, coupables uniquement d’un voyage non autorisé.… Seguir leyendo »
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